Lire après la promenade
Le ciel s’est ennuagé sitôt qu’elle est rentrée de promenade, mais le peu de lumière entrant dans la pièce sera suffisant pour que la lectrice de John Caton puisse encore lire une heure, peut-être même deux. Il suffit pour cela d’un bord de fenêtre et de l’angle parfait, comme c’est le cas ici.
Elle n’en est sûrement pas à sa première lecture là, dans cet éclairage-là. C’est flagrant.