Libre comme Folon
Folon. Jean-Michel Folon.
Un lien entre Chantal, de Bretagne, et moi. Tout d’abord.
Combien de cartes échangées entre nous en 25 ans, qui avaient pour décor une aquarelle ou une gravure de Folon, sur lesquelles nous écrivions des poèmes ?
Il aura fait son chemin entre nous, celui-là. Dans des enveloppes, nous réunissant ainsi le temps que l’une écrive et que l’autre lise.
Complice à son insu de nos états d’âme, il s’est révélé à nous comme le poète de l’aquarelle, et c’est pourquoi, probablement, nous l’aimions tant.
Pour la liberté qui se dégageait de ses dessins.
Pour la liberté d’expression qu’il prônait.
Pour la liberté dans le choix de présenter 300 œuvres d’une vie autrement qu’on les voit habituellement.
À La Hulpe.
Lui qui a travaillé dans la pub, qui a illustré des couvertures de livres, lui qui a gagné sa vie avec ses dessins, – comme quoi, pas besoin d’être un poète maudit ou un peintre sans le sou pour être un artiste – possédait à mes yeux suffisamment d’anticonformisme pour me plaire.
J’irai à La Hulpe. Dans le domaine de son enfance.
Pour constater ce que je sais déjà. Folon m’a séduite depuis bien longtemps.
trop beau je la choisis pour la efaire a l’ecole voila je l’adore cette peinture
Comment by Elisa — 23 octobre 2011 @ 12:08