Les vers de Tahar 2
J’ai vu l’aube pâlir
quand le matin a glissé dans la transparence du désir.
Le sable inespéré s’est mêlé au dire confus.
Tout dire.
Quand le tout est un vol incendiaire.
Tahar Ben Jelloun, Le discours du chameau suivi de Jénine et autres poèmes
*choix de la lectrice d’Albert Lynch