Les vers de Sophia 7
Elle avait entendu ce nom déjà. Sophia de Mello Breyner. Elle avait entendu ce nom, murmuré avec une tendresse comparable, comme si à lui seul il portait tous les mots, toutes les émotions du monde. C’est en ouvrant le recueil Malgré les ruines et la mort que la lectrice de Marianne Jenner a compris pourquoi tant de respect, tant de douceur, tant de chaleur, tant de tristesse aussi quand est prononcé le nom de la poète portugaise.
Nostalgie sans nom…
Nostalgie sans nom du paysage,
Bruissement secret de chaque image
Qui dans le noir se lève et marche.
Je vous suis avec plaisir sur les traces de Sophia !
Comment by Guess Who — 17 mai 2008 @ 2:14
Je lis chaque mot de Sophia de Mello Breyner dans la douceur et le calme. Je lis et relis tous ses vers dans le plus grand respect. Il ne peut en être autrement.
Ses mots me touchent beaucoup.
Comment by Denise — 17 mai 2008 @ 10:19
La toile de Marianne Jenner est ravissante et tellement douce.
Comment by Denise — 17 mai 2008 @ 10:21