Lali

13 décembre 2013

Les vers de Guillaume 4

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

Je voyageais sur toi sans m’y percevoir
Nos peaux comme attaches d’une enveloppe utopique
Onde aux échos perméables

Nos mains consentaient à cette dépossession
Nous
Ce lieu sans distance
Où rien ne se possédait plus

Guillaume Bourque, Je deviendrai toujours ce qui reste de moi

*choix de la lectrice signée Heidi Berger

Un commentaire »

  1. Superbe poème, je le note soigneusement,grand merci.

    Comment by colo — 15 décembre 2013 @ 3:32

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