Les vers de Guillaume 4
Je voyageais sur toi sans m’y percevoir
Nos peaux comme attaches d’une enveloppe utopique
Onde aux échos perméables
Nos mains consentaient à cette dépossession
Nous
Ce lieu sans distance
Où rien ne se possédait plus
Guillaume Bourque, Je deviendrai toujours ce qui reste de moi
*choix de la lectrice signée Heidi Berger
Superbe poème, je le note soigneusement,grand merci.
Comment by colo — 15 décembre 2013 @ 3:32