Les vers d’António 4
Le mouvement de la Terre
Ciel plus limpide
que nuit d’été.
On sent
le mouvement de la Terre.
Irreprésentable,
manque la senteur du foin,
la festive sirène
des cigales,
le murmure
des amants.
António Osório, Les yeux d’Ulysse
*choix de la lectrice signée Hennie Niemann Jr