Les mots empruntés
« Je ne serai jamais un poète, a-t-il écrit à la lectrice de Michaelin Otis. J’utiliserai donc les mots de Michel Jonasz qu’a chantés Françoise Hardy, si tu le veux bien. Je crois que cette chanson est pour nous. »
la neige peut pas tout couvrir
la pluie tout noyer
restera toujours dans les airs
des mot échangés
des rires à dérider les mers
le fond des mers peut s’ouvrir
le vent tournoyer
resteront toujours dans les airs
nos parfums mêlés
aux parfums des feuilles de fougères
de l’un du bout du monde à l’autre
nous deux nous deux et rien d’autre
nos cœurs battant vice-versa
pour toi le mien le tien pour moi
nous deux nous deux et rien d’autre
nous deux nous deux et rien d’autre
et cet amour comme il dure
une éternité
si un jour plus personne sur terre
plus rien d’échangé
restera toujours dans les airs
de l’un du bout du monde à l’autre
nous deux nous deux et rien d’autre
nos cœurs battant vice-versa
pour toi le mien le tien pour moi
nous deux nous deux et rien d’autre
nous deux nous deux et rien d’autre
nous deux nous deux et rien d’autre
Superbes paroles et chanson d’amour !
Comment by Denise Rossetti — 5 janvier 2008 @ 10:58