Le rêve qu’on prépare
Ça ne lui est pas apparu tout de suite. Il a fallu plusieurs livres. Il a fallu des phrases, des mots, des points de suspension, aussi. Mais la lectrice de Victor Zhuravlev a su.
À un rêve qu’on vient de concrétiser, à un rêve qui nous porte et qui restera à jamais gravé, il faut en ajouter un nouveau. Le préparer. Et le fait de savoir qu’elle entrait dans un nouveau rêve l’a rendue heureuse. Infiniment heureuse.