Le dilemme d’un samedi matin
Samedi matin. Rien que l’idée de ces deux mots accolés la fait sourire. Ça signifie tant. Le début de deux jours à lire, à ne faire qu’à peu près ça.
Et la lectrice d’Alfred H. Engel s’est levée tôt, comme tous les samedis matins, pour ne rien rater de ce temps à elle, juste à elle, et pour ses précieux livres qui l’ont attendue toute la semaine. Le ciel peut être gris ou ensoleillé. Pour elle, il est toujours lumineux, tant que quelques livres à dévorer sont au rendez-vous. La seule difficulté consiste à choisir par lequel commencer son voyage. Il y a pire dilemme dans la vie…
A la place de la lectrice, je fermerais mes yeux et je pointerais mon doigt sur un de ces livres en attente et le voyage pourrait commencer…Un merveilleux voyage.
Comment by Denise Rossetti — 8 décembre 2007 @ 11:22
c’est son dilemne à elle. C’est un dilemne qui est aussi important que les autres.
clémentine
Comment by clementine — 8 décembre 2007 @ 15:58