L’aveu 3
j’entends la paix des automnes
fuir entre les arbres
je me nourris du pain de la mémoire
il fait noir dans l’incendie du monde
j’appelle la parole lâchée sur les traces
une pluie errante en mon corps
Michel Pleau, L’aveu tout simple d’un visage
*choix de la lectrice de Poul Friis Nybo
Voilà un sujet d’échanges… « se nourrir du pain de la mémoire »
Je goûte la forme mais le fond me « bloque ».
Comment by Lune (B) — 10 mars 2012 @ 4:38