La fin d’une planche à repasser
Tiens, tiens, encore quelqu’un qui n’aime pas le repassage pour l’offrir ainsi aux éboueurs. Je me sens moins seule au monde…
Tiens, tiens, encore quelqu’un qui n’aime pas le repassage pour l’offrir ainsi aux éboueurs. Je me sens moins seule au monde…
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
« Oct | ||||||
1 | 2 | |||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
Le repassage ! Quel mot barbare…
Comment by Denise — 15 janvier 2009 @ 9:39
Avec son grillage cette planche représente bien la prison de la perfection!
Un artiste pourrait s’en servir dans une installation au musée d’art contemporain!
Comment by Flairjoy — 15 janvier 2009 @ 10:19
faut tenir compte que dans planche à repasser il y a :
planche = faire la planche, faire le mort
repasser = revenir (passer plus tard)
donc pas vraiment de quoi s’inquiéter…
Comment by Double Five — 15 janvier 2009 @ 12:12
Moi, la planche à repasser ce n’est pas dans mes gènes!
Comment by Armèle — 15 janvier 2009 @ 14:22
Double Five ! As-tu déjà essayé de repasser « du linge » ? En hiver, cela peut encore aller mais en été, lorsqu’il fait 35 degrés, avec le fer à vapeur qui nous fait couler les gouttes de sueur…Quel calvaire !
Comment by Denise — 15 janvier 2009 @ 14:43
Ce n’est pas une planche à repasser, c’est une fusée ! Un peu de hauteur !!!
Comment by Reine — 15 janvier 2009 @ 15:40
Mais non Denise, je ne repasse jamais… je dors avec les vêtements que je dois porter le lendemain, ainsi ils ont le loisir de ‘se faire’ au corps… et personne n’y voit que du feu. Gardons ça entre nous.
Comment by Double Five — 15 janvier 2009 @ 16:43