Jordan Officer, un premier album solo peu convaincant
Sachant qu’il est l’homme derrière Susie Arioli et qu’il se produira en compagnie de Stacey Kent le temps de quelques concerts l’hiver prochain, Jordan Officer ne pouvait qu’éveiller ma curiosité en signant son premier album solo. C’est donc avec enthousiasme que je me suis préparée à écouter cet album de l’artiste, né à Montréal, où il a grandi, apprivoisant d’abord le violon, puis la cornemuse, avant de s’attaquer à la guitare, dont il a fait son instrument de prédilection. C’est d’ailleurs avec dextérité qu’il la manie dans cet album qui porte son nom. Mais hélas, tout cela manque un peu d’âme et c’est bien dommage. On se serait attendu à davantage de la part de celui qui a été des quatre plus récentes réalisations de Susie Arioli et qui nous offre ici une musique plutôt répétitive et avec peu de relief. À titre d’exemple, Burnley Moods, que voici.
Sachant qu’il est « l’homme derrière Susie Arioli »… et Susie le sait?…
Pour l’album je le trouve aussi un peu faiblard. Mais tu fais dans la musique maintenant?… ton rayon n’était pas dans le bouquin et lectrices de tout poil?
Comment by Pépé Titi — 13 août 2010 @ 20:57
Ce serait chouette que quelqu’un puisse me lire ce billet à voix haute. J’ai oublié mes lunettes. Merci.
Comment by Pépé Pépère — 13 août 2010 @ 22:31
Ce morceau me rappelle une musique Interlude à la télé, il y a longtemps, très longtemps… Un petit train passe.
Comment by Lautreje — 14 août 2010 @ 1:55