Lali

9 décembre 2010

Il a neigé sur Bruxelles

Filed under: Signé Armando,Vos traces — Lali @ 6:44

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Et même si Armando n’aime pas le froid, il n’a pu résister à la tentation d’aller voir cela de plus près et de nous offrir cette scène hivernale bien poétique.

8 commentaires »

  1. Ces fleurs qui ont tenu tout l’automne, nous offrent une bien jolie poésie sous les cristaux de la neige…

    Bisous Armando 😉

    Comment by Denise — 9 décembre 2010 @ 7:23

  2. Oh ! On dirait une étrange araignée

    Comment by Margotte — 9 décembre 2010 @ 9:53

  3. Dentelle féérique et éphémère superbe photo

    Comment by Dominique — 9 décembre 2010 @ 12:37

  4. On dirait des araignées pétrifiées. Froid dans le dos. brrrr…

    Comment by LOU — 10 décembre 2010 @ 6:25

  5. Ce voile de cristaux de neige emprisonnant ces fleurs renvoie en effet une sensation étrange. Une scène hivernale très originale, Armando. Merci!

    Comment by Chantal — 10 décembre 2010 @ 10:34

  6. Bonjour Lali, il est toujours aussi plaisent de venir ici!! Que de belles photos…aurais tu comme par le passé, un beau livre à me conseiller…Pour les longues soirées d’hiver!

    « Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. »
    [Antoine de Saint-Exupéry]

    Comment by Mona — 10 décembre 2010 @ 10:56

  7. Mona,

    Vous trouverez des suggestions de livres sous la rubrique « À livres ouverts » et sur les auteurs belges plus spéciquement sous « Mes lectures belges ».

    Comment by Lali — 10 décembre 2010 @ 11:16

  8. Merci Denise, Margotte, Dominique, Lou et Chantal, vous êtes des amours…

    Pour le reste il ne me vient une vieille chanson de Peyrac

    C’est pas les coups qui manquent ni ceux qui les donnent
    Je te trahis je t’aime crois-moi sur parole
    T’es beau quand tu montes mais pourvu que tu tombes.

    Pourquoi souhaiter du bien meilleur les aiguilles
    Quand criblées tes poupées mauvais sort te mine
    Seulement méfiez-vous de ces eaux qui sommeillent…

    Ah Peyrac… mes blessures le connaissent toujours par coeur …

    Comment by Armando — 10 décembre 2010 @ 11:33

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