Lali

4 janvier 2015

En vos mots 404

Filed under: Couleurs et textures,En vos mots — Lali @ 8:00

DAWSON BISHOP ELWELL (Mary) - 5

Au moment de choisir la toile que j’allais offrir à vos mots pour entamer cette nouvelle année, j’ai longuement hésité. Tentée par tellement de toiles et d’illustrations toutes différentes, toutes prêtes à prendre leur envol, je voulais pour vous une scène qui vous inspire. Et dès que j’ai trouvé celle-ci, j’ai su que ce tableau signé Mary Dawson Bishop Elwell était pour vous.

Puisse-t-il inspirer plus d’un texte! Comme toujours, aucun commentaire déposé d’ici dimanche prochain ne sera validé avant sept jours, au moment de l’accrochage d’une nouvelle toile.

D’ici là, tous mes vœux pour une année inspirante à tous les envosmotistes et à ceux qui les lisent.

2 commentaires »

  1. J’ai cherché des mots à dire.
    Dans le silence du matin.
    Dans l’aube des nuages.
    Dans mon cœur vide de sentiments.

    Je sais que la page blanche
    Épuisée de silence attend un murmure
    Pas grand-chose d’autre
    Qu’un mot, un croquis, un trait
    Pour dire qu’elle est vivante.
    Et que les mots deviendront colombes
    Dans un ciel gris brisé par l’espoir
    Pour faire naitre des sourires
    Et des regards bouleversés
    Par un monde inconnu
    Qui les rend plus riches de l’autre
    Qui serait devenu un nouveau frère
    Malgré tous ces autres prophètes et autres dieux
    Qui n’existent que dans nos misérables croyances
    Puisqu’il nous est si difficile d’aimer
    Au delà de nos différences et de nos préjugés.

    Mon cœur est vide de tout sentiment.
    Aujourd’hui je n’ai point de mots.
    Aujourd’hui le silence est un abîme
    Au bord duquel ma plume saigne
    Toute l’encre bleue de son âme en peine
    Et elle pleure. Et elle pleure. En silence.

    Comment by Armando — 11 janvier 2015 @ 7:13

  2. Je suis rentré en hâte de mon travail. Oublié ! le ministère, les Underwood, le bruit des claviers, le journal, toujours inquiétant, la rue, pressée, inondée de passants, les tramways en maraude. Je rentre, je ne prends même pas le temps de jeter chapeau, chaussures, juste mon manteau, dans l’entrée, et je monte les voir.

    Ma femme, ma fille. Fernande. Marguerite…

    Comment by Pivoine — 8 février 2015 @ 14:21

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