Lali

8 novembre 2008

En vers et en prose 5

Filed under: À livres ouverts,Couleurs et textures — Lali @ 23:59

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Est-ce que je savais vraiment ou si ce n’était qu’un vague pressentiment? On ne peut qu’aimer les mots d’Hélène Dorion. Même la lectrice de Gull-Maries Kontsida vous le dira, elle qui a choisi cet extrait dans Mondes fragiles choses frêles.

Chercher encore. Sauver dans un regard ce qui se joue d’éternité.

Mais on est parfois plus pauvre d’avoir tant cherché, tant désiré. Dans l’incertitude qui reste, ce ne sont pas des grandes choses qui nous retiennent, mais les autres, mises en réserve une à une, avec tendresse.

2 commentaires »

  1. Sauver dans un regard ce qui se joue d’éternité.

    Il me semble difficile d’écrire quelque chose de si sublime.

    Il y a des phrases qui remplissent une journée.

    Comment by Le Cocq Un — 9 novembre 2008 @ 0:52

  2. Merci Lali de nous faire découvrir les mots « d’Hélène Dorion ».

    J’aime beaucoup « Dans l’incertitude qui reste, ce ne sont pas des grandes choses qui nous retiennent, mais les autres, mises en réserve une à une, avec tendresse ».

    Comment by Denise — 9 novembre 2008 @ 5:42

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