Dans l’univers d’une artiste de Vancouver
Quel univers attendrissant que celui de l’artiste Kris G. Brownlee, de Vancouver, où tous ses personnages, notamment ces deux lectrices, au regard immensément présent, attendent de croiser le vôtre!
Quel univers attendrissant que celui de l’artiste Kris G. Brownlee, de Vancouver, où tous ses personnages, notamment ces deux lectrices, au regard immensément présent, attendent de croiser le vôtre!
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C’est magnifique, Lali! Et il y en a tant d’autres très beaux.
Comment by Denise — 29 juin 2010 @ 9:28
J’aime beaucoup la première, cachée dans sa petite coquille…
Cela me rappelle « Poussette » ou « Poucelina »…. qui dormait dans sa coque de noix
Oui, c’est magnifique, comme le souligne Denise…
Comment by macile — 29 juin 2010 @ 16:17
« Poussette »… voilà une faute qui me fait sourire….
Parce que, bien sûr, ça s’écrit « Poucette »… l’histoire d’une petite fille de la taille d’un pouce…
Seulement… la spontanéité (qui nous pousse parfois à poster un commentaire… et tant mieux qu’il en soit ainsi d’ailleurs! ) m’a fait écrire « Poussette » comme je devais me l’imaginer dans ma tête de petite fille qui aimait beaucoup ce conte…..
Comment by macile — 1 juillet 2010 @ 8:38
Vous ne le savez sans doute pas mais l’origine du nom Vancouver on la doit à un Belge flamand qui est parti vivre au Canada. Il s’appelait Van quelque chose. Et sa mère n’arrêtait pas de lui crier : Couvre-toi Van… faut dire qu’il faisait froid. Or, les gens du village, pour s’amuser au bistrot ont commencé à dire en guise de salut et Van?… et on répondait couvert!… Quoi? Vous ne me croyez pas?… J’ose même pas croire que vous mettez mon savoir en question…. ah de nos jours le respect ne court pas les rues, ma pauvre dame.
Comment by Pépé de Bruxelles — 1 juillet 2010 @ 10:10
C’est vraiment bizarre, Pépé de Bruxelles. Moi que je suis capable de rêver dans plusieurs langues et en couleur, j’ai toute une autre version de l’origine du nom de Vancouver et elle est bien plus plausible que la vôtre mon cher ignare.
C’est lors d’un séjour de sa majesté Elisabeth en terres du Cromwell que le pauvre Van, garçon de restaurant, n’a pas fait son travail et a oublié de dresser la table convenablement. Elisabeth, lorsque son steak saignant avec frites du chef est arrivé a poussé un immense cri royal : Van le couvert!!!… et comme punition lui a interdit toute descendance aussi maladroite que lui en ordonnant qu’on lui coupe ce qu’il avait l’intention d’utiliser pour devenir père.
Voilà comme est né le nom de Vancouver.
Ne me dites pas merci, la connaissance est faite pour être partagée. Moi-même je tiens cela d’un arrière-grand-oncle qui a rendu service à la femme de ce malheureux Van…
Comment by Pépé Titi — 1 juillet 2010 @ 10:24
Waoou…. ça déborde d’imagination dans le coin 🙂
« la connaissance est faite pour être partagée » : arrière-grand-oncle avait bien raison!
Je l’ai encore entendu hier de la bouche d’Hubert Reeves … Il donnait une conférence à Niort et j’y ai amené la jeunesse (même si c’est plutôt elle qui m’ y a amenée car elle sait conduire maintenant cette jeunesse – ce qui ne me rajeunit pas 🙂
Mais… oh! passionnant, amusant et d’une clarté…. c’est un délice de l’écouter Hubert Reeves…
(et j’ai pensé à toi Lali…. bien sûr.. avec son petit accent 😉
Comment by macile — 1 juillet 2010 @ 12:48
Pépé Titi! Sais-tu que tu pourrais écrire des livres… tes extraits sont passionnants 😉 Je me régale et je ris, je ris…
Je suis très heureuse de te retrouver Pépé Titi, alors ça oui!
Comment by Denise — 1 juillet 2010 @ 14:36