Les contrerimes 2
Sur l’océan couleur de fer
Pleurait un chœur immense
Et ces longs cris dont la démence
Semble percer l’enfer.
Et pais la mort, et le silence
Montant comme un mur noir.
… Parfois au loin se laissait voir
Un feu qui se balance.
Paul-Jean Toulet, Les contrerimes
*choix de la lectrice de Jules Pascin