cette caresse
était-ce le vent
était-ce ton souffle
était-ce ta voix
ou ton regard
ou bien tes mots
tes lèvres
ou encore
toi tout entier
dans la nuit étoilée
(septembre 2009)
*toile de Lucien Grandgérard
2 septembre 2009
4 commentaires »
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La lectrice de Lucien s’est abandonnée dans les rêveries, je me demande bien ce qu’elle lisait …
à tes mots que je trouve si touchants, comme en écho :
c’est l’amour qui dépose ses joyaux dans le ciel
imperceptible bruissement des cils du firmament
la caresse est légère mais la trace profonde
Comment by Hespérie — 3 septembre 2009 @ 5:46
Était-ce l’écume si blanche
Comme la page vide de mon avenir
La fausse promesse d’un dimanche
L’envie frissonnante de t’appartenir
Étaient-ce les étoiles sur mon visage
Ou mon cœur qui manquait d’aimer
Les yeux fermés, début du voyage
Jusqu’à tes lèvres pour te retrouver
Je ne me souviens plus et pourtant
Ton corps ne faisait qu’espérer
Qu’on efface les frontières du temps
Le temps d’échanger un baiser
Comment by Armando — 3 septembre 2009 @ 19:14
Armando, ce poème est magnifique
Comment by Hespérie — 4 septembre 2009 @ 3:53
comme vos billets vont bien ensemble, Toi et Plume légère !
Comment by Lautreje — 8 novembre 2010 @ 2:25