Ce que mots vous inspirent 514
Ne dites pas de mal du temps qu’il fait, s’il ne changeait pas, neuf personnes sur dix ne sauraient pas comment engager la conversation. (Charles Dickens)
*toile de Dionisii Donchev
Ne dites pas de mal du temps qu’il fait, s’il ne changeait pas, neuf personnes sur dix ne sauraient pas comment engager la conversation. (Charles Dickens)
*toile de Dionisii Donchev
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LOL 🙂
mais alors de quoi parle-t-on dans les pays où il fait toujours beau?
🙂
Comment by Adrienne — 14 octobre 2011 @ 8:46
Bonjour Adrienne
je me permets de vous répondre puisque votre question est très pertinente et qu’en plus de cela elle pertine l’ouïe de n’importe quel vagabond du soir qui s’égare à lire des commentaires des autres blogs pour tenter de deviner de quoi peuvent bien parler les billets.
Oui je sais je m’allonge, mais comme je n’ai personne à qui parler je profite du fait que vous m’avez posé une question pour obliger ma langue à faire un peu d’exercice et croyez-moi elle en a bien besoin. On ne peut pas dire qu’elle est paresseuse ma langue, mais elle est si peu sollicitée que des fois j’ai peur qu’elle rouille, voyez-vous. C’est idiot ce que je viens de vous dire. De là ou vous êtes vous ne pouvez pas me voir. Et cela même si la lumière de la voisine d’en face vient de s’éveiller. Mais ce n’est pas vous. J’ai déjà croisé la voisine d’en face. Vous c’est la première fois que je vous croise. Et je sens que cela ne vous fait pas plaisir du tout. Mais ne vous inquiétez pas. J’ai l’habitude de faire semblant que je ne comprends pas les choses. Déjà mon père, mon grand-père et le grand-père du grand-père de mon grand-père était comme ça. Donc. J’ai de qui tenir.
J’en viens donc à votre question.
Dans les pays où il fait beau, les gens entament des conversations, d’une manière chaleureuse et fleur bleue, en murmurant des mots sucrés. Vous voyez le genre?… Bon moi je ne peux plus le faire à cause du diabète, mais dans ma jeunesse plus jeune que celle que j’ai maintenant j’avais une collection de mots sucrés qui faisaient les délices des gourmandes. Ce n’est pas par le fruit du hasard si on m’appelait, en ces temps-là, Pépé la douceur.
Je vous ai éclairée?… Il faut que que je vous dise que j’ai été ravi de vous parler un peu. Et puis vous avez de si beaux yeux…
Comment by Pépé Zinzin — 14 octobre 2011 @ 23:47
100 % d’accord avec le vieux Charles (Dickens pas Aznavour) et si dans certains pays on parle de la pluie et du beau temps, dans les pays où il fait toujours beau on ne parle que de la foudre. Le coup de foudre.
Comment by Monsieur Moi — 15 octobre 2011 @ 0:06
pourtant, chers Pépé Zinzin et Monsieur Moi, j’ai remarqué lorsque j’étais en Italie cet été que les Italiens abordaient le serveur en ces termes:
– Bonjour! est-ce qu’il va encore faire aussi chaud aujourd’hui?
à quoi le garçon répondait:
– Qu’est-ce que ça peut vous faire, puisque c’est pour passer votre journée sous un parasol!
Comment by Adrienne — 15 octobre 2011 @ 1:00
Vous me faites rappeler qu’au Portugal, lorsque les gens peu courageux, sous le parasol, demandent:
– Eh, alors l’eau est bonne?
On a l’habitude de leur répondre:
– On dirait que les poissons s’y plaisent.
Tiens, pourquoi avez-vous mis vos lunettes de soleil?… Ok je file.
Comment by Pépé Zinzin — 15 octobre 2011 @ 11:32