L’univers d’Angela
Quand vous ouvrirez le portefolio d’Angela Eata, dont sont extraites ces scènes livresques, vous aurez envie d’inventer une histoire pour chacune de ses illustrations tant elles titilleront votre imagination…
Quand vous ouvrirez le portefolio d’Angela Eata, dont sont extraites ces scènes livresques, vous aurez envie d’inventer une histoire pour chacune de ses illustrations tant elles titilleront votre imagination…
C’est un univers plein de poésie que celui de Marie Desbons. Pas étonnant qu’elle illustre des livres pour enfants, ses pinceaux et son talent étaient faits pour ça. Entrez dans son univers et faites-en le tour. Vous serez conquis. Je n’en dis pas plus.
Quand Chris, qui a beaucoup aimé 84 Charing Cross Road, et elle est loin d’être la seule à avoir une affection bien spéciale pour ce récit signé Helene Hanff, m’a demandé de lui suggérer d’autres romans épistolaires, j’ai décidé de faire profiter les amis du pays de Lali de ma réponse plutôt que de lui envoyer un courriel.
Voici donc, pour qui, comme Chris, aime les romans où s’échangent des lettres, quelques titres :
– Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, pour Guernesey, pour ses personnages, pour la tendresse qui se dégage de cette histoire sur fond de Seconde guerre mondiale.
– Angéline de Montbrun de l’écrivaine québécoise Laure Conan, parce que c’est un classique, que c’est le premier roman épistolaire que j’ai lu, il y a de cela 35 ans, et parce que j’en conserve un souvenir ému.
– Inconnu à cette adresse, court roman ou longue nouvelle, un des titres les plus bouleversants de ma vie de lectrice.
– L’amour est à la lettre A de Paola Calvetti, par pour l’histoire d’amour, mais bien pour la librairie de l’histoire.
– Vingt-quatre heures d’une femme sensible, qui réunit des lettres de toute beauté, mettant en scène de vrais personnages de roman, comme il n’en existe plus.
– L’immense abandon des plages de la Québécoise Mylène Durand, malgré un sujet difficile (le suicide d’une mère), pour la langue magnifique, les images évoquées et les paysages.
– Cher Diego, Quiela t’embrasse, pour le Paris des peintres de Montparnasse, pour Diego Rivera, pour celle qui a été sa première épouse, pour la plume remarquable d’Elena Poniatowska.
– Les lettres chinoises de Ying Chen, où il est question d’amour, de déracinement, de mal du pays dans un livre remarquable qui a marqué la littérature de chez nous.
– Se résoudre aux adieux de Philippe Besson, un livre à moitié réussi, mais dont l’écriture simple est forte et évocatrice.
– Un homme à distance de Katherine Pancol, parce que c’est une histoire de libraire, et que je suis incapable de résister à de telles histoires.
– La tentation d’Édouard de la Belge Élisa Brune, un regard sur l’art, sur la beauté, sur l’être humain, sur le quotidien et sur les fantasmes.
Et maintenant, à vous d’ajouter quelques titres à la liste destinée à Chris!
*toile d’Édouard Vuillard
C’est une raconteuse. Pas en mots, mais en images. Skasia a choisi la photographie et l’aquarelle pour vous faire part de ses histoires. Envie de voir la suite? C’est par ici.
Un univers plein d’imagination et de poésie que celui de Valentin Rekunenko dont voici quelques scènes livresques. La suite vous attend ici.
Jen Mazza est une artiste new-yorkaise que les livres inspirent. Voici d’ailleurs quelques-uns de ceux qu’elle offre chez elle, un endroit que je vous invite à visiter sans tarder.
Parce que j’ai aujourd’hui envie et besoin de me gaver de rouge, de bleu et de vert, je vous invite à me suivre. Nous allons à Bonnieux, l’atelier de Marjolaine Lasne, dont voici quelques scènes dans lesquelles des lecteurs se sont glissés, nous attend.
Quelques toiles de l’artiste québécoise Diane Éthier que j’offre à Lucie et à Anne. Parce que lire des mots ou des notes, c’est toujours lire.
Il y a de l’animation dans les scènes de la vie parisienne que croque l’artiste Marie-Claude Bosc, dont voici deux toiles aux accents livresques. À vous de trouver les personnages qui lisent. Pour voir les choses de plus près, découvrir des personnages et la bien jolie façon de l’artiste de les présenter, allez chez elle ou si ce n’est pas trop loin, à Nice, d’ici le 17 décembre. Marie-Claude Bosc participe à l’Aigle de Nice.
Né en Sicile, Angelo Ruta a fait ses études à Milan où il vit toujours. Ses illustrations pleines de fantaisie, dont plusieurs éditeurs jeunesse ont déjà fait bon usage, devraient vous faire sourire. Allez faire un tour chez lui. Vous ne vous y ennuierez pas.