Lali

Ce n’est pas ce qu’on fait sortir de soi dans la poésie des autres qui est important, mais le fait d’avoir enfin une oreille pour l’entendre. (Victor-Lévy Beaulieu)

*illustration de Junghyeon Kwon

Lorsqu’on ne choisit pas, on ne peut aimer ni les choses ni les êtres. Au mieux peut-on les voir avec indifférence. (Victor-Lévy Beaulieu)

*illustration de Sally Nixon

Quand tout est facile, il n’y a rien de vraiment important. (Victor-Lévy Beaulieu)

*toile de Lisandro Rota

Poussée à bout, la solitude n’est que la face voilée de la multitude. (Victor-Lévy Beaulieu)

*illustration de Julia Hermansson

L’art n’est que de l’arbitraire mis en conserve. (Victor-Lévy Beaulieu)

*toile de Leslie Balleweg

Il fait si gris ce matin à Montréal qu’il fallait absolument que je vous propose une toile pleine de lumière afin que vous la racontiez en vos mots, comme vous le faites si bien semaine après semaine.

C’est sur ce tableau de l’artiste James Flanagan, où le bleu domine, que mon choix s’est arrêté, en espérant qu’il suscitera nouvelles et poèmes que nous aurons la joie de lire dans une semaine, et pas avant. En effet, aucun texte ne sera validé avant dimanche prochain.

Cela vous laisse donc plus que le temps de lire les poèmes déposés sur la toile de dimanche dernier, de les commenter si vous en avez envie, et d’écrire quelques lignes.

D’ici là, bonne semaine et bon dimanche à tous!

Que pouvons-nous pour les autres quand les autres ne sont pas capables d’y faire quoi que ce soit? (Victor-Lévy Beaulieu)

*toile de Gerard Boersma

Un homme seul ne peut rien, il lui faut l’appui de ses semblables pour arriver là où il doit aller. (Vicor-Lévy Beaulieu)

*toile de Kristine Headlam

Que pouvons-nous pour les autres quand les autres ne sont pas capables d’y faire quoi que ce soit? (Victor-Lévy Beaulieu)

*illustration de Yeju Koo

Ma grand-mère maternelle aurait eu 101 ans aujourd’hui. Et comme elle avait comme nom de famille Beaulieu, j’ai choisi de consacrer ce dimanche à des citations de l’un des plus prolifiques auteurs québécois, lequel s’appelle aussi Beaulieu, doit Victor-Lévy Beaulieu.

J’ai eu l’occasion de le côtoyer à l’époque où je travaillais à la librairie de son épouse alors que j’étais étudiante à l’université. Des souvenirs que je raconterai peut-être un jour.

Or, comme VLB, comme on l’appelle aussi, a beaucoup écrit, les lecteurs et lectrices du jour seront entourés de livres, comme c’est le cas des personnages illustrés par Kelsey Garrity Riley pour qui j’ai choisi cette citation : Il faut avoir le courage de miner tous les ponts derrière soi, ne serait-ce que pour n’avoir que la possibilité de tout refaire.