Ailleurs que dans ma tête
J’ai étiré ma lecture le plus longtemps possible, mais soixante pages c’est si court. Tellement court. Surtout quand on voudrait qu’elles ne se terminent jamais, qu’il y ait toujours soixante pages devant soi.
Puis, j’ai posé le recueil de Robert Lalonde sur les draps.
Et je suis restée là, avec tous ces mots en moi qui affluaient, désordonnés. Un jour, peut-être seront-ils en mesure de vivre ailleurs que dans ma tête.
*toile de Margarita Matus
Hum le recueil de Lalonde sur les draps… hum… j’ai fait la même chose avec la photo de Marylin quand j’avais 18 ans… et c’est drôle elle est toujours dans ma tête…
Comment by Armando — 5 février 2010 @ 15:25
Celui-là non plus tu ne voulais pas le terminer 🙂
Alors il me tente aussi !
Comment by Petit Poucet rêveur — 5 février 2010 @ 17:28
Et par chance, le recueil contient deux autres nouvelles. À suivre…
Comment by Lali — 5 février 2010 @ 19:19