À l’aube 3
Les vies et les vents
se plaisent
comme palustres en fête
gisant des espaces éperdus
les rives se confondent
et se confrontent
dans la tête du funambule
fumeur d’effervescence
des rêves avides de rêve
Makenzy Orcel, À l’aube des traversées et autres poèmes
*choix de la lectrice de Franklin Einspruch