Les vers de Céline Z. 6
J’ai tant voyagé par les siècles
qui jamais ne firent terre,
tant arpenté les couleurs, les langues,
les savoirs
et je n’ai vu nulle origine, nulle vérité,
hormis le chemin qui se fraie un regard
à mesure qu’il s’efface
Céline Zins, Adamah
*choix de la lectrice signée Herman vedel