Les songes d’une funambule 1
Les couleurs de l’aube
se déclinaient
sur fond d’azur répété.
Une brise chaude
glissait
sur la mer compromise.
Tout se voilait
soudain
l’eau devenait sombre
et l’IMMENSITÉ
se fondait au gris de la mer.
Thérèse Renaud, Les songes d’une funambule
*choix de la lectrice d’Henri Matisse