Les vers de Dominique 4
Descendre à la mer devant Rimouski
Et s’ébauche un surprenant périple
entre un ciel arbitraire
et le courant du large
Il faut accepter de disparaître
à la face du nombre
pour que s’ouvre le cœur
Tu me devins étonné
d’abattre si tôt
des cloisons
L’amour se découvre parfois
à la limite
d’un acte inimaginable
d’intimité
Dominique Lauzon, Lettre du cœur et autres paysages
*choix de la lectrice d’Adolf von Becker