Quand la réponse n’est pas dans les livres
J’aurai beau lire tous les livres du monde, il y aura toujours des moments où je me trouverai confrontée à de curieuses réactions de la part des gens. Ainsi, cette page ailleurs sur le net qui était mienne et qui semble disparue de la page d’accueil, alors que j’y ai encore accès en tant qu’administrateur. Erreur du webmestre ou choix de celui-ci parce que ça n’a pas fonctionné comme il l’aurait voulu avec celle que je lui ai présentée ?
Je préfère penser qu’il a commis une erreur en ajoutant des événements, même si je n’y crois guère. Je sens plutôt la réaction infantile du mâle blessé dans son orgueil. Sauf que je me demande pourquoi s’en prendre à une tierce personne qui n’a rien à voir dans cette partie de l’histoire ?
Les gens ont parfois de ces réactions à l’emporte-pièce. Que je ne comprends pas. Et que je ne cherche plus à approfondir sinon qu’en posant une question par courriel, laquelle aura une réponse ou pas. Ça fait partie de la liberté des uns de ne pas s’expliquer. Même si les autres restent là, sans comprendre.
Et je pourrai bien, telle la lectrice de Ricardo Cejudo Nogales, chercher dans tous les rayons LE livre qui me fera comprendre les facettes innombrables de l’être humain, je ne trouverai pas ce livre. Car aucun livre ne nous permet d’apprendre ce que la vie nous apprend. Aucun livre ne sait à lui seul tracer des lignes directrices afin que nous puissions comprendre les mécanismes de chacun.
Mais je continuerai de creuser, non pas afin de savoir si celui qui a décidé de ne pas s’expliquer n’y tient pas mais de chercher de livre en livre le mot, la phrase qui peut-être m’expliqueront ce geste et bien d’autres gestes passés et à venir.