Quelques vers signés Jacqmin 5
La flamme de l’âtre enchante
les yeux aux heures closes
de la nuit.
Elle stimule le regard qui
galope vers une existence antérieure où
la réalité est miraculeusement
dépourvue de définitions.
Le songe suit le rythme des
ombres.
François Jacqmin, Les saisons
*choix de la lectrice d’Isabel Bishop