Ce qu’on dit des maisons 5
C’est seulement à l’instant de les quitter que l’on mesure son attachement à un lieu, une maison, ou à sa famille. [Éric Cantona]
*toile de Sergio Sanchez (dont on ne trouve plus trace)
30 octobre 2010
5 commentaires »
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J’ai fait mes devoirs:
Attachement à mon lieu: sept lieux équivalant à 200 kms avec les bottes du Chat Botté.
Attachement à ma maison: 10 kms équivalant à une centaine de cailloux du Petit Poucet.
Attachement à ma famille: j’essaie de mesurer mais le haricot magique de Jacques ne cesse de grandir!
Comment by Mémé BigoudisJ'ait mes devoirs: — 30 octobre 2010 @ 8:00
Attention il s’est inscrit des mots à côté de mon Name! SVP peux-tu les effacer! Merci Lali!
Comment by Mémé Bigoudis — 30 octobre 2010 @ 8:02
C’est vrai. Vous dites ça et il me vient en mémoire l’attachement que j’avais pour ma cousine Germoise et que j’ai quittée avec déchirement, mais son mari était déjà si près qu’il fallait bien que je file…
Comment by Pépé — 30 octobre 2010 @ 8:49
Ce n’est pas toujours évident de se détacher des biens qui nous entourent. Certains lieux ou objets restent sentimentaux…
Comment by Denise — 30 octobre 2010 @ 9:15
C’est pour ça que Stallone se demandait « Objets inanimés avez-vous une âme »… Et George Bush lui répondit: « Tais-toi on veut dormir! »…
Aucun sens artistique ce Bush, je trouve.
Comment by Pépé — 30 octobre 2010 @ 9:19