À propos des villes 23
Quand on retourne dans sa ville natale, on s’aperçoit que ce n’était pas l’endroit qu’on regrettait, mais son enfance. (Sam Ewing)
*toile d’Edward Hopper
23 octobre 2010
4 commentaires »
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C’est pareil pour le chocolat… quand on mange du chocolat on s’aperçoit que c’est le cacao qu’on aime bien pas la vache…
Comment by Pépé — 24 octobre 2010 @ 6:53
La citation me plaît et la toile d’Edward Hopper est magnifique!
Par deux fois, je suis retournée dans mon quartier d’enfance, dans ma rue, l’immeuble où j’habitais avec mes parents. Certaines choses ont changé mais à chaque fois, j’ai eu ce pincement au coeur.
Le mur sur lequel je jouais à la balle était toujours là et je posais également mon vélo contre le mur. A l’époque, aucun problème de vol. Le trottoir où mes camarades et moi jouions n’a pas changé. Mon école, toujours la même…Des souvenirs merveilleux 😉
Comment by Denise — 24 octobre 2010 @ 7:35
C’est pourquoi je retourne en enfance.
Comment by Mémé Cogito — 24 octobre 2010 @ 8:02
A mes 30 ans, je suis revenue dans le pays où je suis née. J’y ai pleuré abondamment. Mais je ne reverrai jamais le lieu où j’ai fait mes premiers pas, où je fus heureuse avec mes parents. C’est trop loin. Et à quoi bon. Je suis d’ici et de nulle part. C’est ainsi.
Comment by LOU — 24 octobre 2010 @ 8:09