Le divan bien trop grand
Parfois, c’est elle qui lit sur le sofa. Parfois, c’est lui. Mais il y a chez eux quelque chose qui ne va pas et qui ressemble à une attente. Ou à quelque chose d’incomplet.
Parce que le divan est bien trop grand pour une personne. Parce qu’ils seraient bien mieux assis côte à côte, enlacés, même si pas dans le même livre. Oui, le lecteur et la lectrice d’Ann Murray seraient beaucoup mieux à lire en même temps.
Si la lectrice et le lecteur lisaient côte à côte, l’harmonie serait au rendez-vous et eux, heureux !
Comment by Denise Rossetti — 12 décembre 2007 @ 5:45