La suggestion du 2 mars 2010
Quiconque s’intéresse à la langue française, comme la lectrice peinte par George Romney, ne pourra que lire avec intérêt ce billet!
Quiconque s’intéresse à la langue française, comme la lectrice peinte par George Romney, ne pourra que lire avec intérêt ce billet!
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Toujours à la pointe des dernières évolution de la langue française… J’aime bien chercher « internet » dans la « version informatisée » de leur dictionnaire. Ça donne ceci :
(1)*INTERNÉ, -ÉE n. XIXe siècle. Participe passé d’interner.
1. Anciennt. Personne assignée à résidence. Il y avait beaucoup d’internés dans cette ville. Auj. Personne enfermée sans jugement, à la suite d’une décision du pouvoir en place. La Fédération nationale des déportés et internés de la Résistance. 2. Personne hospitalisée dans un service psychiatrique.
(2)INTERNER v. tr. XVIIIe siècle. Dérivé d’interne.
DROIT. 1. Anciennt. Assigner à résidence dans une localité déterminée avec défense d’en sortir. Auj. Priver de liberté par décision administrative, sans qu’il y ait condamnation ou poursuite pénale. Interner un mineur délinquant. Interner un dissident dans un camp. 2. Placer d’autorité un malade dans un établissement psychiatrique. Le médecin a jugé nécessaire de l’interner.
Comment by Nicolas Esprime — 2 mars 2010 @ 12:12