Ce que mots vous inspirent 6
La seule chose qu’on est sûr de ne pas réussir est celle qu’on ne tente pas.
[ Paul-Emile Victor ]
La catégorie Ce que mots vous inspirent est au même titre qu’En vos mots votre tribune. Tous les mercredis.
Une citation, une pensée, quelques vers. Pour vous. Pour ce qu’ils vous suggéreront. Pour ce qu’ils proposent au lecteur de M. Chernykov, qui semble en plein questionnement.
Une phrase sur laquelle vous avez le temps de méditer à votre aise, puisque je ne validerai les commentaires que dans une semaine. Elle est à vous. Pour ce que mots vous inspirent.
Yannick Noah
Ose
Presque rien, juste à part
Et venir plus près
D’autres liens d’autres voix
Au moins essayer
L’étincelle qu’on reçoit
Au premier regard
L’étincelle vient de toi
S’envole au hasard
Et peut tout changer
Alors… Ose,
Redonne à ta vie
Sa vraie valeur
Ose, ose
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs.
Presque rien, un silence
Qu’il faut écouter
Un chemin, une chance
Qu’on peut partager
Pas de doute, pas de peur
Tu peux avancer
Fais ta route
Il est l’heure
Tu dois essayer
Tu dois tout changer
Ose,
Ose
Redonne à ta vie
Sa vraie valeur
Ose,
Ose
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs.
Tu peux tout changer
Alors…
Ose,
Ose
Redonne à ta vie
Sa vraie valeur
Ose,
Ose
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs.
Ose,
Ose
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs
Comment by Denise Rossetti — 5 décembre 2007 @ 10:40
Le vrai échec est de rester dans le doute…
Comment by Armando — 6 décembre 2007 @ 5:05
Et voilà, encore un monde qui s’ouvre à moi : celui de l’Académie des Arts d’Ukraine où visiblement ils ont continué la peinture du début du vingtième siècle jusqu’à aujourd’hui, en dépit de tout, des la « révolution » culturelle qui a tout applati, des gigantesques massacres, des divers courants d’art contemporain qui ont effacé la figure humaine, ils ont continué à peindre le jardin, la maison, la jeune fille dans son fauteuil, le nu à tout âge, la réflexion, la pensée exprimée en ombre et lumière sur un front, l’espoir, l’amour tout simplement. Je reste ébahie de tant de maîtrise et de beauté. Au risque de me répéter, je suis encore confondue par le travail de notre amie aux yeux verts et lunettes rouges, ceci n’est pas un site, pas un blog, c’est la pensée universelle dans sa transcendance.
Il y aurait un tableau à faire : une femme au visage bienveillant qui tient le monde dans ses bras comme un enfant. Avec elle, plus de guerres.
Edith Gorren
Comment by Edith Gorren — 8 décembre 2007 @ 5:27