Quelques vers de Goethe 7
Elle avait lu autrefois Goethe. C’est donc avec grand bonheur que la lectrice du peintre John Everett Millais a retrouvé ce poème qu’elle avait tant aimé autrefois :
Adieu! Trouve-toi bien auprès des cent bougies
Qui t’entourent de leur clarté,
Et auprès de tous ces visages
Qui de leurs propos flagorneurs
Et de vins qu’on verse t’entourent.
Car tu n’auras pourtant vraie joie et vrai bien-être
Qu’auprès d’âmes, ainsi que toi, droites et loyales.
Je lis et relis cette magnifique poésie de Goethe. Je m’en empreigne!
Merci Lali!
Comment by Denise — 5 février 2010 @ 14:28
J’ai relu Goethe et j’ai la goutte. C’est normal?
Comment by Armando — 5 février 2010 @ 15:18