Les bonheurs qui s’additionnent
Le vent s’est glissé dans la pièce en même temps que la lumière. Peut-être a-t-elle souri. À cause du vent, de la lumière ou des mots qu’elle lisait. Ou à cause des trois.
Parce que les bonheurs qui s’additionnent font toujours sourire ceux qui savent encore s’émerveiller.
*sur une toile de Julius Christian Rehder
« Savoir s’émerveiller » c’est un beau cadeau que la vie nous offre.
J’aime beaucoup cette toile avec la lumière qui entre dans la pièce et les couleurs chaudes de la toile sont superbes.
Comment by Denise — 18 juin 2009 @ 11:48