Un écrin pour un bijou
Qui n’a pas un jour entendu parler, à défaut de les avoir lues, des Lettres de la religieuse portugaise? Ont-elles vraiment été écrites par Mariana, une religieuse au couvent de Beja? Sont-elles le fruit d’un spécialiste de l’art épistolaire qui s’en est dit le traducteur? Un bref aperçu de la polémique entourant ces cinq lettres peut être lu ici.
Et si d’aventure, vous ne les avez jamais lues, si votre curiosité est piquée, si vous avez envie d’entrer dans l’âme passionnée de celle qui se livre à celui qu’elle aime, ce « cri d’amour sans écho » comme l’exprime Sabine Blesniak dans la préface qu’elle signe aux éditions Alternatives, prenez soin de choisir cette édition, pour la beauté du livre lui-même et pour les calligraphies de Stéphanie Devaux, qui donnent un écrin somptueux à ces lettres qui étaient déjà un bijou.
J’avoue que je n’en avais jamais entendu parler et que je me suis empressée d’aller lire la première lettre et tout le bien que l’on disait de cette oeuvre dans les liens que tu nous as donnés ici ! Je suis séduite , merci Lali de nous conseiller aussi cette édition dont tu parles avec tant de passion !
Comment by lanourse — 20 janvier 2010 @ 18:48