Ce que mots vous inspirent 66
L’écriture est le seul espace de liberté. (Nicolas Fargues)
La phrase de Nicolas Fargues semble laisser la lectrice de Gerda Leenards bien songeuse. A-t-elle le même effet sur vous?
La phrase restera là une semaine. Juste assez longtemps pour ce que mots vous inspirent à la première lecture, pour ceux qu’ils susciteront en vous à la deuxième et troisième lecture.
Et il va sans dire que nous vous lirons avec grand bonheur dans sept jours!
L’écriture est le seul espace de liberté. (Nicolas Fargues)
C’est bien possible monsieur Fargues, mais moi, il est l’heure d’aller au lit… et puis, ces gens qui font des jeux de mots… en toute liberté… pufff je leur tire la langue.
Comment by Art Mélo — 29 janvier 2009 @ 21:40
Claudine est bien installée sur le divan et lit une citation de Nicolas Fargues « L’écriture est le seul espace de liberté ». Dès qu’elle a un moment elle s’octroie une pause dans la journée pour la lecture.
Hum ! Certes ! Je n’en doute pas. On peut trouver l’évasion dans l’écriture. Je pense que l’écrivain voyage à chacune de ses phrases. Il place ou déplace un mot ou tout un paragraphe. Tout cela doit être merveilleux …
Toutefois, Claudine se dit que la liberté c’est également autre chose.
Son espace de liberté, c’est se lever le matin, d’aller d’une pièce à une autre, regarder le ciel, marcher, sentir une fleur, écouter le vent, regarder un papillon, écouter les doux babilles d’enfants, marcher nu pieds sur une plage, lire, discuter avec des amis, laisser son esprit vagabonder, chanter, rendre service à une personne, sourire, enfin toutes ces choses naturelles de la vie !
Chaque matin, Claudine remercie le ciel pour tous ces petits bonheurs. Elle se sent libre et prête à apprécier sa nouvelle journée !
Comment by Denise — 2 février 2009 @ 16:06
Bonjour Art Melo!
C’est facile de trouver ma langue et de la tirer, parce qu’elle est toujours sortie! Elle n’est jamais dans ma poche!
Quand je suis allée chez le médecin pour mon gros rhume, il a dit:
« Attends que je prenne mon abaisse-langue »
Et je lui ai répondu:
» Çà vaut pas la peine, je vais la descendre pour vous! »
C’est alors que je l’ai tirée.
Après l’avoir fait, il a cru que je ne l’aimais plus mais je ne sais pas pourquoi…
Ah, les adultes! Des fois, ils ne savent pas ce qu’ils veulent.
Comment by Puff — 4 février 2009 @ 8:41
Salut Puff
moi, il m’est arrivé une mésaventure mot pour mot presque pareille. À part que j’avais un petit rhume.
Comment by Pû Puff — 4 février 2009 @ 10:10