Le lac Hopfensee

Si vous empruntez un jour le téléphérique pour voir de haut le lac Hopfensee, en Allemagne, il se peut très bien que vous ne puissiez pas l’apercevoir. C’est arrivé à mon amie Sofie, qui n’a vu que des nuages!
Si vous empruntez un jour le téléphérique pour voir de haut le lac Hopfensee, en Allemagne, il se peut très bien que vous ne puissiez pas l’apercevoir. C’est arrivé à mon amie Sofie, qui n’a vu que des nuages!
Je sais. Oui, je sais que j’ai du tri et du ménage à faire. Je ne le sais que trop. Mais il y a des moments où j’ai juste envie de m’arrêter, de tirer un livre de ma pile et d’écouter un des CD déménagés. Au hasard. Ce soir, ce sera Link du claviériste et compositeur norvégien Øystein Sevåg.
*toile d’Afshama Sharmeen
Rien de mieux pour souligner l’arrivée du printemps que des tulipes. Un envoi de mon amie Sabine, qui sait combien je les aime.
Aimer lire, c’est faire un échange des heures d’ennui contre des heures délicieuses. (Montesquieu)
*illustration de Kano Nakajima
Pas facile d’aborder un sujet aussi sensible que la dépression d’un parent sans utiliser de mot savant, sans parler de médication. Agnès de Lestrade a réussi ce tour de force avec Le nuage de papa. Un album qui relate ce que vit le papa de l’héroïne de cette histoire, écrite au je, et qui nous est racontée de façon poétique.
Pas de drame. Juste de la tristesse et l’impossibilité de sourire. Tout cela en raison d’un nuage qui prend beaucoup de place et qu’on essaie de faire disparaître par toutes sortes de moyens, notamment en soufflant dessus.
Or, le nuage est tenace. Il faudra du temps pour qu’il ne prenne plus toute la place et que le papa retrouve le sourire. Mais il y parviendra. Pour le moment. Il n’est pas dit que le nuage ne réapparaîtra pas.
Une totale réussite que cet album illustré par Stéphanie Marchal.
Une carte postale qui me ramène des années en arrière. J’avais 17 ans quand j’ai visité le Chinatown de San Francisco. Un souvenir inoubliable.
J’ignore d’où vient mon amour pour les machines à écrire. Je sais seulement que je suis toujours plus qu’heureuse d’en trouver dans des tableaux. Comme celles peintes par l’artiste Pegah Samaie.
Un message? Oui, un message! Le meilleur est à venir. Parce que j’ai très envie d’y croire aujourd’hui. Une illustration de Janet Hill.
Et si je proposais à la lectrice peinte par Victoria Fitzgerald de commencer la journée en compagnie de Cesaria Evora comme je le fais aujourd’hui?
Je sais, ce n’est pas la saison pour cela. Mais je têve tout de même d’une glace. D’une glace bien précise, devrais-je préciser. Mais pour cela, il faudrait que je traverse l’océan et me rende sur l’île Saint-Louis dont on voit une partie sur cette carte postale. C’est là que se trouve Bethillon.