L’île de Baffin est la plus grande île du Canada. Elle offre notamment des paysages de toute beauté. Celui-ci, sur carte postale, est un bel exemple. Et pour découvrir ses richesses et son histoire, visitez cet article qui lui est consacré.
Quel univers fascinant que celui de Camilla d’Errico, peintre pop surréaliste (comme elle se définit elle-même), que j’ai découvert grâce à cette carte postale envoyée par Valérie. Si vous le visitez, préparez-vous à y passer un moment, il y a plus de 5000 images sur son Instagram!
Déjà le dernier dimanche de mars… Comme il semblait loin il y a peu de temps. Les semaines filent décidément à vive allure. Pour terminer le mois, je vous propose de découvrir l’univers de l’artiste Mao Hamaguchi et de faire vivre un de ses tableaux en vos mots.
Comme le veut l’habitude, aucun commentaire ne sera validé avant dimanche prochain. Vous avez donc amplement le temps d’écrire quelques lignes et de lire les textes déposés sur la toile de la semaine. C’est avec plaisir que nous vous lirons.
D’ici là, bon dimanche, bonne semaine et bon début de mois à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir en deux temps l’artiste Cinta Vidal. Pour commencer, ses décors livresques qui proposent de nombreux détails à examiner.
Je n’oublierai jamais Pont-Aven. Nous y avions pique-niqué après la visite de Concarneau. Chantal s’en est-elle souvenue quand elle m’a envoyé cette carte? Ce souvenir qui a plus de 40 ans n’a pas pris une ride.
Dès les premières pages de Florence & Léon, j’ai été conquise, rien de moins. Il faut dire que ces deux personnages sont très attachants. Florence, même si elle a un problème aux poumons qui l’empêche de respirer à fond. enseigne la natation. Léon, qui n’a pas une bonne vue, est agent d’assurances.
C’est en raison d’une collision qu’ils font connaissance. Et c’est devant un café glacé et un jus mangue et melon qu’ils re racontent, et qu’ils parlent de ce qui les empêche de vivre à plein. Manquer d’air, pour Florence, c’est comme respirer à travers une paille. Ne voir qu’en partie, pour Léon, c’est un peu comme voir ce qui l’entoure à travers une paille.
Et si l’un et l’autre s’entraidaient et faisaient en sorte que les carences de l’un soient compensées par les forces de l’autre? Une histoire qui m’a rappelé mes parents qui, en vieillissant, avaient perdu en partie la vue et l’ouïe pour l’un, la mobilité pour l’autre, et qui affirmaient haut et fort que tout allait bien puisqu’à deux, ils obtenaient la note parfaite de 100 %.
Une belle histoire signée Simon Boulerice, soutenue par les illustrations de Delphine Côté-Lacroix. Une histoire que vous pouvez aussi voir et entendre si vous en avez envie.