Les chants d’Anise 6
Je t’habite
en transparence
Retire ta mémoire
de la mienne
elle tourne en moi
comme une lune insomniaque
Anise Koltz, Chants de refus
*choix de la lectrice d’Anna Hyunsook Paik
Je t’habite
en transparence
Retire ta mémoire
de la mienne
elle tourne en moi
comme une lune insomniaque
Anise Koltz, Chants de refus
*choix de la lectrice d’Anna Hyunsook Paik
Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la stupidité suffit à expliquer. (Philip Teir)
*toile de John Osgood
L’homme est ainsi fait qu’il ne peut s’empêcher de taper dans un ballon qui approche. C’est dans le sang. Et quand un ballon s’éloigne, il se met à courir après. (Arto Paasilinna)
*toile de Pamela Patrick White
La vraie rébellion, c’est de jouir de l’existence, quelles que soient les circonstances. (Rikka Pulkinnen)
*toile de Susanne Kühn
L’esprit humain est un mécanisme curieux, capricieux et imprévisible. Il est semblable à une mer profonde : nul ne sait avec certitude ce qui se meut sous la surface. (Lars Sund)
*toile de Judith Lansink
Il est inutile de s’interroger sur les choses que la raison ne peut expliquer, ça ne les rendra pas plus compréhensibles. (Marko Leino)
*toile de Vincent Giarrano
L’enveloppe est vide, décachetée, oubliée. Elle a pourtant transporté jusqu’à son destinataire une lettre qu’on peut supposer avoir été lue. À qui était-elle destinée? Que contenait-elle? C’est vous qui nous raconterez, en vos mots, ce que cette toile signée Byron Gin évoque pour vous. En vers, en prose, comme il vous plaira.
Et, comme le veut l’habitude, tous les commentaires seront validés dans sept jours et pas avant afin que chacun des participants puisse prendre son temps et peaufiner un texte s’il le veut, ou en écrire tout de suite s’il a déjà une idée en tête et les mots pour l’exprimer.
Rendez-vous dimanche prochain pour la suite!
La fin ne justifie pas les moyens, mais dans les moyens se loge la vérité sur toi-même. (Kjell Westö)
*toile de Giovanni Giacometti
On ne tombe pas amoureux parce que la personne vous est sympathique ou antipathique, ni même pour ses mille qualités. On tombe amoureux de quelqu’un qui réveille quelque chose qu’on porte en soi. (Monika Fagerholm)
*toile de Wilhelm Lefèvre