On voit les maux d’autrui d’un autre œil que les siens. (Pierre Corneille)
*toile d’An He
Si l’amour quelquefois souffre qu’on le contraigne,
Il souffre rarement qu’une autre ardeur l’éteigne.
(Pierre Corneille)
*toile de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty
Lectrices, de lettres comme de livres, se sont passé le mot. Chacune d’elles, en commençant par les lectrices du peintre Eduardo Leon Garrido, a donc revêtu ses plus beaux atours, car je les emmène au théâtre. Aujourd’hui, dans l’œuvre de Pierre Corneille, demain dans celle de Jean Racine.
Vous venez aussi?
C’est avec la lectrice du peintre Franz Hecker que se terminera la lecture des Jours fragiles de Christophe Condello, non sans un dernier poème qu’elle a choisi pour vous :
Paysage je respire
tes larmes supposées fugitives
la somnolence du parc Lafontaine
sur une musique jazzée
le pouls seul
repère à minuit
l’imminence de l’acte
Avec le nombre d’oiseaux qui se pressent autour de Denise dès qu’elle met le pied dehors, je me demande si elle n’a pas appris à faire Pit Pit et Cui Cui pour les appeler…
Peut-être le lecteur peint par Warren Williams devrait-il abandonner son livre quelques minutes. Je crois qu’il y a là-bas une lectrice qui serait peut-être prête à lui faire la lecture…
Les abeilles sont bienvenues à Bois le Roi. Chantal a trouvé leur ruche!