Une pensée pour mes collègues
C’était prévisible. Nous n’allions pas y échapper. Quand toutes les activités réunissant des groupes sont annulées jusqu’à la fin de l’été, un organisme de bienfaisance dont la viabilité dépend des dons du public ne peut se permettre de maintenir les postes des personnes organisant ces activités. C’est donc 300 de mes collègues qui ont été mis à pied temporairement hier. Nul ne sait pour combien de temps. Personne ne sait si tous les postes seront maintenus quand la vie reviendra à la normale. Ou à peu près.
Aujourd’hui, c’est à mes collègues que je pense, le cœur gros.
*toile de Geneviève Lapierre
c’est un des triste à-côté de cette crise, que ceux qui souffrent déjà, souffrent encore plus
Comment by Adrienne — 31 mars 2020 @ 7:49
Oui, non seulement craindre pour les jours à venir, pour la santé de soi et des siens, mais ne plus avoir (momentanément, j’espère) d’avenir professionnel !
Mais, chaque problème en son temps.
Comment by LOU — 31 mars 2020 @ 15:10