Toujours une page qui la retient
Toujours une dernière page qui la retient alors qu’elle est prête à partir, qu’elle a son chapeau sur la tête et son sac à côté de la porte. Et même si elle se raisonne, même si elle se dit qu’elle reprendra son livre quand elle rentrera, la lectrice de Leonard Everett Fisher n’a aucun contrôle sur elle-même quand il s’agit des livres. Je la soupçonne de n’être pas la seule à souffrir de la même maladie…

Est-ce vraiment une « maladie », Lali ?
Commentaire by Denise — 3 septembre 2008 @ 9:23
Si c’est une maladie, elle est bien douce! Bizarre! elle n’est pas répertoriée dans les annales de médecine !
D’ailleurs, la solution est toute trouvée pour notre lectrice, le livre rejoint le sac à main et le tour est joué !!
Commentaire by chantal — 3 septembre 2008 @ 17:16