Lali

Si je vous dis que j’ai découvert, adolescente, la peintre Marie Laurencin en raison d’une chanson de Joe Dassin, sauriez-vous me dire laquelle? Non, ce n’est pas Le café des Trois colombes.

Quel joli sourire! Mais que peut bien jouer cette jeune musicienne russe? Une idée?

La poésie fait du langage l’espace où tout dehors est un dedans, l’instant habité de tous les temps. (Anne-Marie Garat)

*toile d’Édouard Agneessens

Une très belle illustration de l’artiste néerlandais Anton Pieck.

Il y avait en 1988 beaucoup d’animation à Piccadilly Circus. Des musisiens, des touristes, de jeunes punks, des voitures, des bus. Beaucoup de bruit. C’était étourdissant. Est-ce pareil aujourd’hui?

Ça y est, c’est le grand jour. Dans quelques heures, les meubles que j’ai conservés seront enfin déménagés. J’aurai donc dans les prochains jours une pièce consacrée à la lecture et à la musique, raison pour laquelle j’ai choisi pour ce dimanche cette illustration signée Dickon Drury, en espérant qu’elle vous inspirera. C’est avec plaisir que nous vous lirons dans sept jours, au moment où les commentaires seront validés.

D’ici là, prenez le temps de vous asseoir dans ce décor et de lire les trois textes déposés sur la scène livresque de dimanche dernier. Vous pouvez même les commentetr si vous le souhaitez!

Et bien sûr, rendez-vous la semaine prochaine pour la suite.

En ce premier samedi d’hiver, car il est bel et bien arrivé en force chez nous ces derniers jours, je vous propose de rester au chaud et de découvrir l’univers de l’illustratrice Shelley Couvillion.

Quel message peut contenir cette bouteille? Le photographe Klaus Ender, qui a pris cette photo, a-t-il débouché la bouteille? On ne le saura jamais.

Celle du concerto grosso, op. 6, no 12. Quelle bonne idée de l’avoir reproduite sur carte postale!

Il faudrait ne rien avoir vécu pour espérer échapper aux regrets. (Hemley Boum)

*toile d’Oluwayesi Alade