Les nœuds

Un tour mort et deux demi-clefs ne lächent jamais, est-il écrit au recto de cette carte en provenance de Bretagne.
S’il est vrai que les nœuds marins ne se défont jamais, ils ne sont pas les seuls. Certains liens d’amitié le sont aussi.
Un tour mort et deux demi-clefs ne lächent jamais, est-il écrit au recto de cette carte en provenance de Bretagne.
S’il est vrai que les nœuds marins ne se défont jamais, ils ne sont pas les seuls. Certains liens d’amitié le sont aussi.
Quand j’ai trouvé cette carte postale dans ma boîte aux lettres il y a quelques jours, j’ai tout de suite souri, car je connais très bien cette photo de l’artiste multidisciplinaire Pol Bury. Et pour cause : j’ai sur mes murs depuis plus de 30 ans cette affiche mettant en vedette la tour Eiffel.
Or, c’est la journée parfaite pour la partager avec vous. Sonia, qui vit à Paris, amie de la famille depuis plus de 30 ans, sera chez mes parents cet après-midi.
Alors que je viens à l’instant de valider les commentaires déposés sur l’illustration de dimanche dernier, que je vous invite à découvrir et à commenter si vous le souhaitez, je vous propose cette semaine de vous installer dans cette toile signée Heidi Palmer.
La vue est plus qu’agréable, la chaise semble confortable et de la lecture vous attend. Que demander de plus?
La suite vous appartient puisque cette scène n’attend que vos mots pour prendre vie. C’est donc avec plaisir que nous vous lirons dimanche prochain lors de la validation des textes reçcus, et pas avant.
D’ici là, bon dimanche et bonne semaine à tous les envosmotistes et à celles et ceux qui les lisent.
Vous avez le choix. Une illustration de l’artiste Roy Emanuel, originaire de Taïwan.
J’adorais Fifi Brindacier. Son franc-parler, son originalité, son sens de l’amitié, sa démésure, ses couettes, tout me plaisait chez elle. Cette carte envoyée par Sabine est un bel ajout aux neuf que j’avais déjà.
J’adore découvrir des illustrateurs. Et je l’avoue, j’ai un gros faible pour les artistes finlandais. C’est donc avec joie que j’ai fait connaissance avec Timo Mänttäri grâce à cette carte postale.
Aujourd’hui, je vous propose une carte qui m’a beaucoup fait sourire, laquelle m’a été envoyée par ma filleule. Qu’y voyez-vous? Une route? Un serpent? Des montagnes?
Mon amie Sabine m’a soumis une excellente question concernant le lac du Montagnon d’Iseye, dans les Pyrénées-Atlantiques, et j’avoue ne pas être en mesure d’y répondre.
Quand on fait le tour du lac, peut-on se rendre compte de la forme du lac ou si c’est seulement du ciel qu’on a pleine connaissance de celle-ci? Qu’en pensez-vous?
Un exilé n’a, pour patrie, que la littérature de sa patrie. (Andreï Makine)
*illustration de Mariusz Stawarski