Offerte
Le corps, unique lieu de rêve et de raison,
Asile du désir, de l’image et des sons.
(Anna de Noailles)
Il aime sa nudité. Cette nudité qui n’a rien d’indécent et d’impudique. Cette nudité qui est elle, peut-être offerte à celui qui la regarde ainsi. Lui.
Il aime la nudité de la lectrice de Frédéric Brandon qui lui inspire les mots d’Anna de Noailles. Qui lui inspire le désir d’elle. Ce désir bien plus qu’indécent et impudique. Ce désir amoureux de se fondre en elle.
Des traits aux airs de déjà-vu. Simplicité de la ligne, épure qui en dit long, mieux que le plus léché des dessins.
Comment by Gicerilla — 14 septembre 2008 @ 2:29