Lali

13 novembre 2009

Là où même le silence s’est tu

Filed under: États d'âme,Couleurs et textures — Lali @ 5:54

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Il y aura toujours quelqu’un pour vous accuser de tout, pour vous faire des reproches, pour vous pointer du doigt, pour poser sur vous un regard qui vous heurte, pour s’en prendre à vous. Où que vous alliez, peu importe ce que vous ferez – ou ne ferez pas. On vous attaquera, on vous blessera, on vous brisera. Et une fois de plus, vous aurez envie de partir loin, vous le ferez peut-être, afin d’aller là où même le silence s’est tu.

*toile d’Ada Thilén

5 commentaires »

  1. Malgré la belle toile, ton billet me peine. Et ce qui est certain… Il y aura toujours quelqu’un sur notre chemin capable de nous blesser!

    « Dans la vie, il est des rencontres stimulantes qui nous incitent à donner le meilleur de nous-même, il est aussi des rencontres qui nous minent et qui peuvent finir par nous briser. »

    Marie-France Hirigoyen

    Bisous

    Comment by Denise — 13 novembre 2009 @ 10:06

  2. Que ton billet me peine aussi, Lali!
    Penser aux personnes qui vous aiment..
    Beaucoup même!
    Brassée de bisous

    Comment by Chantal — 13 novembre 2009 @ 15:08

  3. C’est vrai . Comme c’est douloureux à lire et à ressentir .
    Partir, s’enfoncer au plus profond de soi, dans les replis sombres et silencieux
    ou
    Rester et laisser la lumière de ceux qui nous aiment nous éclairer , encore, simplement …
    Vibrer toujours même sur les douleurs
    Sourire plus grand pour chasser les noirceurs
    Prendre la main de l’ami et se sentir plus fort

    Cette toile est si belle Lali, si belle, si émouvante
    et je dépose mes bises dorées pour toi

    Comment by Hespérie — 13 novembre 2009 @ 16:20

  4. La tendresse et l’amitié virtuelles cela existent et je t’en envoie Lali un plein panier
    La toile est magnifique
    une pensée très amicale

    Comment by Dominique — 14 novembre 2009 @ 3:55

  5. Amitiés et bises à vous quatre.
    Je sais que vous êtes là.

    Et cet ami pour qui j’ai écrit ce texte – qu’il ne lira pas – sait que je suis là, dans ce monde où jour après jour il reçoit des coups de griffes qui font mal. Pourquoi? Parce qu’il a un cœur vingt fois plus grand que celui n’importe lequel de ceux qui l’attaquent.
    Il en est ainsi. Et puisse ces deux jours avec lui-même – dans le silence et avec les mots – lui permettre de ne plus se laisse atteindre. Ou moins.

    Comment by Lali — 14 novembre 2009 @ 6:20

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