Invitation vers ailleurs
Premier regard, un peu en contre-plongée, tel celui du peintre Reeve Schley pour une lectrice, sur le blog au joli nom de Fenêtres sur la cour.
Je suis charmée. Non pas parce que Caroline semble se plaire au pays de Lali – notamment avec ce billet qu’elle signe aujourd’hui et qui me fait rougir, mais bien parce que je vois entre nous plus que quelques affinités.
C’est donc à la manière du peintre croquant cette lectrice que je suis allée là-bas. À petits pas. Ne voulant pas déranger. Puis je suis rentrée chez moi, séduite par ce blog comme l’a peut-être été l’homme aux pinceaux devant la lectrice.
Il va sans dire qu’il s’agit une fois de plus d’une de celles dont le plaisir est évident. Une de celles qui étalent un bonheur qu’il fait bon contempler. Je parle de Caroline, je parle de la lectrice, ici confondues dans leur ressemblance.
Il est certain que je m’attarderai davantage sur Fenêtres sur la cour.
Je vous invite à être du voyage.
en lisant ce doux billet, je me suis précipitée. Je ne suis pas tombée.
Je me suis assise et j’ai regardé. Le pouvoir des yeux. C’est franchement agréable quand on est aveugle. Suis-je aveugle. Non ! j’exagère. Le monde de Lali est merveilleux. C’est le pouvoir des yeux qui le dit, qui le lit.
clem
Commentaire by clementine — 22 janvier 2007 @ 18:30
merci de tous ces beaux mots… et bonne lecture.
Commentaire by caroline_8 — 24 janvier 2007 @ 1:47