Étretat

Le temps d’une carte postale, j’ai eu 12 ans à nouveau. Grâce à la première série Arsène Lupin, qui m’a incitée à lire (et même à dévorer) tous les romans mettant en vedette le gentleman-cambrioleur imaginé par Maurice Leblanc, j’ai découvert Étretat.
Et je n’ai cessé depuis de rêver au jour où je verrais en vrai l’aiguille creuse.